Cette année m'a semblé plutôt bonne pour le beaujolais nouveau. Fruit bien mûr, un peu de structure, de beaux équilibres. Mais je ne parlerai ici que de celui qui m'a scotché, celui de Christian Ducroux en vin de France: quelle finesse! Un nez floral plein de charme, une gourmandise délicate soutenue par une structure tannique fine mais bien présente, une certaine longueur, évidemment toute relative mais en l'occurrence bien supérieure à celle d'un primeur moyen. Un vin qui au final vaut largement ses 9€ mais qui d'ici le printemps transcendera certainement son pedigree.
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